« Le Discordianisme n’est pas juste une religion ; c’est une maladie mentale. »
Lord Omar Khayyam Ravenhurst.
Les gens disent souvent : « le Discordianime est une blague, non ? » Et je réponds : « les gens qui disent ça ne connaissent pas la fin de la blague ». Ou « bien sûr que c’est une blague ! » Tout dépend de l’intensité de l’Opération Mindfuck que je m’apprête à lancer sur eux.
Le Discordianisme est une blague déguisée en religion déguisée en blague. Euh, attends ! C’est une religion déguisée en blague déguisée en religion. Mmm, non une blague déguisée… Bon, je ne sais plus.
Tu vois, personne ne peut vraiment définir ce qu’est le Discordianisme par rapport à quoi que ce soit. Car il s’agit juste de la perception, de l’opinion et de l’interprétation de ce que les autres voient, lisent et comprennent (ou pas) du Discordianisme. Il appartient au Pope d’interpréter ce qu’il/elle lit. Ou pas.
Ce qui est génial avec le Discordianisme c’est que si tu n’aimes pas un truc, tu peux le changer. Deviens un Episkope et fais comme tu l’entends. Tout le monde s’en fout. Si tu n’aimes pas les livres, écris-en d’autres. Si tu n’aimes pas la manière de faire les choses, fais-les différemment.
La Société de la Discordia n’a aucune définition !
Le Discordianisme.
Le mouvement discordien ou érisien est décrit comme une « désorganisation irréligieuse de non-prophète » et proclame que « la révélation érisienne n’est pas une blague compliquée déguisée en religion, mais une nouvelle religion déguisée en blague compliquée ».
Tout a commencé avec le Principia Discordia, une collection d’articles et d’idées compilées par Greg Hill (Malaclypse le Jeune). Le thème central est que « le Chaos est tout aussi important que l’Ordre » ainsi que l’illustre l’histoire du « Sort de Morneface ».
L’humour est l’essence du Discordianisme, mais le Discordianisme ne doit pas être rejeté comme n’étant qu’une blague. Des expériences sensibles et profondes accompagnent souvent la pratique érisienne. C’est un jeu perceptuel, un jeu qui démontre que l’absurde est tout aussi valide que ce qui est terre-à-terre et que le chaos est tout aussi valide que l’ordre. Il libère le pratiquant des jeux de l’ordre (que beaucoup ont oublié n’être que des jeux) afin de jouer à des jeux avec l’ordre ou des jeux avec le chaos, ou les deux. Les effets du Discordianisme sur l’individu peuvent aller loin et sont incroyablement libérateurs…
« Bien que de nombreuses personnes immatures aient malheureusement joué au Discordianisme avec comme résultat de louper tout chance de progression spirituelle » GreyCat.
La définition que nous venons de donner ne tente, en réalité, pas de définir quoi que ce soit. Ce ne sont que des indices… Il ne s’agit donc nullement d’enfermer le Discordianisme. Sur l’internet vous trouverez une grande quantité de tracts qui tentent de définir quelque chose qui échappe à toute définition, car c’est sa nature profonde de refuser d’être défini. Ces mots sont intéressants, mais ils ne disent rien que l’expérience seule apportera aux pratiquants réels de la Discordia. Ainsi qu’un mec, un jour, l’a dit : « un discordien a l’interdiction de croire ce qu’il lit ». Nous prions la déesse que notre lecteur ne nous croira pas, et nous ne le croyons pas tandis que nous l’écrivons.
Le Discordianisme est-il une blague ? Extrait Du Chaos plein les poche, ouvrage en vue d’ici peu de temps… traduction française par Spartakus FreeMann, mars 2017 e.v.
« Le Discordianisme n’est pas juste une religion ; c’est une maladie mentale. »
Lord Omar Khayyam Ravenhurst.
Les gens disent souvent : « le Discordianime est une blague, non ? » Et je réponds : « les gens qui disent ça ne connaissent pas la fin de la blague ». Ou « bien sûr que c’est une blague ! » Tout dépend de l’intensité de l’Opération Mindfuck que je m’apprête à lancer sur eux.
Le Discordianisme est une blague déguisée en religion déguisée en blague. Euh, attends ! C’est une religion déguisée en blague déguisée en religion. Mmm, non une blague déguisée… Bon, je ne sais plus.
Tu vois, personne ne peut vraiment définir ce qu’est le Discordianisme par rapport à quoi que ce soit. Car il s’agit juste de la perception, de l’opinion et de l’interprétation de ce que les autres voient, lisent et comprennent (ou pas) du Discordianisme. Il appartient au Pope d’interpréter ce qu’il/elle lit. Ou pas.
Ce qui est génial avec le Discordianisme c’est que si tu n’aimes pas un truc, tu peux le changer. Deviens un Episkope et fais comme tu l’entends. Tout le monde s’en fout. Si tu n’aimes pas les livres, écris-en d’autres. Si tu n’aimes pas la manière de faire les choses, fais-les différemment.
La Société de la Discordia n’a aucune définition !
Le Discordianisme.
Le mouvement discordien ou érisien est décrit comme une « désorganisation irréligieuse de non-prophète » et proclame que « la révélation érisienne n’est pas une blague compliquée déguisée en religion, mais une nouvelle religion déguisée en blague compliquée ».
Tout a commencé avec le Principia Discordia, une collection d’articles et d’idées compilées par Greg Hill (Malaclypse le Jeune). Le thème central est que « le Chaos est tout aussi important que l’Ordre » ainsi que l’illustre l’histoire du « Sort de Morneface ».
L’humour est l’essence du Discordianisme, mais le Discordianisme ne doit pas être rejeté comme n’étant qu’une blague. Des expériences sensibles et profondes accompagnent souvent la pratique érisienne. C’est un jeu perceptuel, un jeu qui démontre que l’absurde est tout aussi valide que ce qui est terre-à-terre et que le chaos est tout aussi valide que l’ordre. Il libère le pratiquant des jeux de l’ordre (que beaucoup ont oublié n’être que des jeux) afin de jouer à des jeux avec l’ordre ou des jeux avec le chaos, ou les deux. Les effets du Discordianisme sur l’individu peuvent aller loin et sont incroyablement libérateurs…
La définition que nous venons de donner ne tente, en réalité, pas de définir quoi que ce soit. Ce ne sont que des indices… Il ne s’agit donc nullement d’enfermer le Discordianisme. Sur l’internet vous trouverez une grande quantité de tracts qui tentent de définir quelque chose qui échappe à toute définition, car c’est sa nature profonde de refuser d’être défini. Ces mots sont intéressants, mais ils ne disent rien que l’expérience seule apportera aux pratiquants réels de la Discordia. Ainsi qu’un mec, un jour, l’a dit : « un discordien a l’interdiction de croire ce qu’il lit ». Nous prions la déesse que notre lecteur ne nous croira pas, et nous ne le croyons pas tandis que nous l’écrivons.
Va ton chemin pour te faire ta propre idée…
… Ou pas
Le Discordianisme est-il une blague ? Extrait Du Chaos plein les poche, ouvrage en vue d’ici peu de temps… traduction française par Spartakus FreeMann, mars 2017 e.v.