Par xOv
11/
La bio imaginaire de Narcifoss par xov,
Narcifoss est un être étrange…
Personne ne pourrait vraiment dire qui il est, d’où il vient et ou il va ?
Certains disent qu’il a été élevé par des loups, d’autres pensent qu’il fuit un monde fait de feu et de sang… aucuns d’eux ne s’est aventuré à lui posé la question…
Le mystère sur ses origines est des plus complet, tout au plus sait-on, du fait d’une observation minutieuse, que sa chevelure a une propension extrêmement forte à se développer…
Quelle est la véritable identité de ce personnage, cache t’ il un lourd secret que dissimule mal ce visage impassible, comment interpréter sa personnalité si folle et grave parfois ?
Narcifoss est un nom d’emprunt, comment ne pas imaginer une sale affaire rien qu’a la prononciation de ce dernier ? L’emprunt a-t-il été effectué sur une personne vivante ? Ou bien est ce un message codé, Narcifoss serait une contraction de Narcisse, personnage mythique qui s’auto satisfaisait et de Faust ou moins probablement Fosse, ce qui induirait, pour la première hypothèse que cet être est un monstre capable de tout pour rester en vie, pour la seconde que cet être se sent enfermé dans un personnage qui n’est pas le sien…
Les pistes sont innombrables et je ne sais si un jour j’approcherai la vérité,
toutefois il me parait évident que Narcifoss, ou quoi que se soit qui se cache derrière, est un être avide de liberté, on ne saurait le manipuler ou l’enfermer, il a soif de ce que le monde à de meilleure et il sait qu’il obtiendra toujours ce qu’il désir à force d’opiniâtreté…
Maintenant le crépuscule se fait, la flamme de la bougie virevolte dans la pièce encore pleine de doutes, le vent siffle dans les arbres et la lune tente de réveiller la ville endormie…
Où vas tu Narcifoss ?
12/
Il est quelle heure ?
Dites moi ce qu’il adviendra de moi…
Suis je déjà mort ?
Ai je déjà vécu ?
Et si je ne croyais plus en rien ?
C’est la souffrance qui me guide…
13/
je saigne, et je pleure, et je médit ,j’aurai préféré ne jamais voir poindre le jour, mais je suis abandonné ;
j’erre, combien de fois faut il mourir pour apprécier la vie
Moi j’avais rien demandé, c’est pourtant tellement facile de disparaître……
Fantôme
Fantôme
Fantôme
Et si mes doigts n’étaient pas si blêmes
Et si mon âme …
Je suis dieu
Je suis dieu te gratte le cul, plein de merde, d’il y a trois jours, sèche et bien parfumée, une odeur d’oisiveté
je suis jéova, et je marche sur les pas, oui les traces des grands anciens ,ni couronne, ni regrets, je suis invincible, je ne suis pas sale, ni outrageant, mais bon ch’ui pas contre
Ah a ouiiiiiii, burn your soul, burn
Set me free, and come wee down
14/
O Lautréamont
« J’étais là pour toi et toi pour moi »
Nous étions purs et saints comme les ronces
Qui dévorent le tombeau des Grands Anciens
O Lautréamont mon frère de malédiction
Nous croyons à une Révélation Païenne
Et une nouvelle ère de contemplation
O Lautréamont
« J’étais las de toi et toi de moi »
J’implorai depuis les entrailles du Grand Volcan,
Quand toi tu gisais dans un nouveau néant
O Lautréamont mon frère de malédiction
Les oiseaux de malheur dévoilent
La pale nature de nos destins vomis
Dans un élan court et concis
O Lautréamont mon frère de malédiction
« J’étais là comme toi et toi comme moi »
Nous sommes tombés avec une pluie de cristal
Dans l’évident maléfice de l’éternité
15/
Poème à mon Ami Thyrant…
J’étais sans espoirs dans la pénombre et le froid
Le cœur engourdi, l’âme déchirée par les cauchemars et les cris
Comme une déchirure, un craquement d’os,
le pas cadencé, une brûlure d’acide sur la peau.
Je ne savais pas encore que j’étais passé de l’autre coté
Et que sur l’autre rive, les ombres du chaos me tendaient déjà les bras
Celui qui se tient a l’interstice du monde vivant
Celui qui a la main froide aux doigts acérés
Ni dieu, ni démon, je suis le monde
On ne s’approche pas de la vérité sans se brûler
16/
(il faut) Purifier par le feu
La folie de l’homme
Réduire a néant
Ses traces, son présent
Voici l’éveil noir
Par le feu et par l’eau
Jaillira l’ultime solution
Par la terre et par le vent
Vous entendrez son nom
L’éveil noir, l’éveil noir, l’éveil noir
Quand le décompte commencera
Il n’y aura plus de place
Pour tout homme pour toute race
La prière ne suffira pas
Qui du juste, qui de l’assassin
Est en droit d’être gracié ?
Le sang irrigue les chairs à damner
Et coule impair de sorte à tuer
Par l’église érigée
Intransigeante transgression
Par la folie insensée
Exigence de la transformation
Remplace le cœur par le charbon
Saisie toi de l’arme absolue
Laboure les champs inconnus
Danse sur les cendres de la civilisation
Tu craches tes cris, tes soupirs
Tu t’accroches tu respire
Tes doigts ont des cers inutiles
Quand tu sais l’emprise de l’éveil noir
17/
Ici la mort
Peur étrange qui envahit
Le cœur (impur) des impies
Ici la mort
Le fait d’une minorité
Engendre la haine chez une majorité
Contrôlons vos esprits
Vos crises, vos conflits
Ici la mort, ici la mort
La mort est belle mon ami
Sombre et charnelle, tu me suis
La mort est belle et l’espoir y est éternel
Et ici le sort est jeté ici la mort
Un pacte est scellé ici la mort
Les forces du progrès ici la mort
Mais la nature décimée ici la mort
ici la mort, ici la mort
ici la mort qui s’émisse dans vos cerveaux putrides
ici la mort, ici la mort qui va frapper
ici la mort, feu et forets
ici la mort, ici la mort, fleuve ensanglanté
ici la mort, furieuse et passionnée
ici la mort ici la mort fantôme ou rêve brisé
ici la mort folie de l’humanité
ici la mort, ici la mort…
18/
Riez, riez petits ogres nus
mais déjà dans vos veines le sang
ne circule plus
tout ce que l’homme construit peut etre détruit
par la nature ou par lui
toutes œuvres de la nature est indestructibles
quiconque prétendrait le contraire
serait invariablement qualifié
de petit prétentieux
car la nature existe depuis l’aube des temps
j’affirme cela car j’en appelle aux éléments de la mémoire
la voûte céleste confirme l’éternité de la nature
par la profonde respiration qu’elle insuffle chaque nuit
aux antipodes de la conscience universelle
les œufs font des poussins ou des serpents
peut être que tout que ce qui est beau est moins vrai ?
19/
Ou sont les passions verdoyantes ?
Rendez nos nuages fantasques
Et les rivières qui courent sur les pentes
Promettez un salut fastueux
Du sang de la terre sur la chair
De La chair déchirée par delà le temps
20/
Etre né sans en avoir été prévenu
Camisole corporelle, carnivore éventuel
Ecarté avec soins des rouages obligés
Ecartelé pour le moins entre le rouge et l’épée
Enfoncé comme un clou de cercueil
Défoncé comme un trou plein d’orgueil
Place aux prêcheurs de l’inutile
Gonflés de salive putride
21/
J’ai parcouru la moitié du chemin
Je sui un nazi bienveillant !
22/
aux pieds des montagnes, dans les forets
dans les ronces aux plaintes dignes et silencieuses
dans les marécages qui nous portent au crépuscule
j’ai senti ton œuvre
De la ou on ne revient pas j’écris des mots…
Du cœur a l’esprit en passant par la parole
Le don de soi pour salut
Avec une serénité éternelle
Je conclu
Emeth descendit Ad Infernos
Je suis dieu te gratte le cul… xOv
Par xOv
11/
La bio imaginaire de Narcifoss par xov,
Narcifoss est un être étrange…
Personne ne pourrait vraiment dire qui il est, d’où il vient et ou il va ?
Certains disent qu’il a été élevé par des loups, d’autres pensent qu’il fuit un monde fait de feu et de sang… aucuns d’eux ne s’est aventuré à lui posé la question…
Le mystère sur ses origines est des plus complet, tout au plus sait-on, du fait d’une observation minutieuse, que sa chevelure a une propension extrêmement forte à se développer…
Quelle est la véritable identité de ce personnage, cache t’ il un lourd secret que dissimule mal ce visage impassible, comment interpréter sa personnalité si folle et grave parfois ?
Narcifoss est un nom d’emprunt, comment ne pas imaginer une sale affaire rien qu’a la prononciation de ce dernier ? L’emprunt a-t-il été effectué sur une personne vivante ? Ou bien est ce un message codé, Narcifoss serait une contraction de Narcisse, personnage mythique qui s’auto satisfaisait et de Faust ou moins probablement Fosse, ce qui induirait, pour la première hypothèse que cet être est un monstre capable de tout pour rester en vie, pour la seconde que cet être se sent enfermé dans un personnage qui n’est pas le sien…
Les pistes sont innombrables et je ne sais si un jour j’approcherai la vérité,
toutefois il me parait évident que Narcifoss, ou quoi que se soit qui se cache derrière, est un être avide de liberté, on ne saurait le manipuler ou l’enfermer, il a soif de ce que le monde à de meilleure et il sait qu’il obtiendra toujours ce qu’il désir à force d’opiniâtreté…
Maintenant le crépuscule se fait, la flamme de la bougie virevolte dans la pièce encore pleine de doutes, le vent siffle dans les arbres et la lune tente de réveiller la ville endormie…
Où vas tu Narcifoss ?
12/
Il est quelle heure ?
Dites moi ce qu’il adviendra de moi…
Suis je déjà mort ?
Ai je déjà vécu ?
Et si je ne croyais plus en rien ?
C’est la souffrance qui me guide…
13/
je saigne, et je pleure, et je médit ,j’aurai préféré ne jamais voir poindre le jour, mais je suis abandonné ;
j’erre, combien de fois faut il mourir pour apprécier la vie
Moi j’avais rien demandé, c’est pourtant tellement facile de disparaître……
Fantôme
Fantôme
Fantôme
Et si mes doigts n’étaient pas si blêmes
Et si mon âme …
Je suis dieu
Je suis dieu te gratte le cul, plein de merde, d’il y a trois jours, sèche et bien parfumée, une odeur d’oisiveté
je suis jéova, et je marche sur les pas, oui les traces des grands anciens ,ni couronne, ni regrets, je suis invincible, je ne suis pas sale, ni outrageant, mais bon ch’ui pas contre
Ah a ouiiiiiii, burn your soul, burn
Set me free, and come wee down
14/
O Lautréamont
« J’étais là pour toi et toi pour moi »
Nous étions purs et saints comme les ronces
Qui dévorent le tombeau des Grands Anciens
O Lautréamont mon frère de malédiction
Nous croyons à une Révélation Païenne
Et une nouvelle ère de contemplation
O Lautréamont
« J’étais las de toi et toi de moi »
J’implorai depuis les entrailles du Grand Volcan,
Quand toi tu gisais dans un nouveau néant
O Lautréamont mon frère de malédiction
Les oiseaux de malheur dévoilent
La pale nature de nos destins vomis
Dans un élan court et concis
O Lautréamont mon frère de malédiction
« J’étais là comme toi et toi comme moi »
Nous sommes tombés avec une pluie de cristal
Dans l’évident maléfice de l’éternité
15/
Poème à mon Ami Thyrant…
J’étais sans espoirs dans la pénombre et le froid
Le cœur engourdi, l’âme déchirée par les cauchemars et les cris
Comme une déchirure, un craquement d’os,
le pas cadencé, une brûlure d’acide sur la peau.
Je ne savais pas encore que j’étais passé de l’autre coté
Et que sur l’autre rive, les ombres du chaos me tendaient déjà les bras
Celui qui se tient a l’interstice du monde vivant
Celui qui a la main froide aux doigts acérés
Ni dieu, ni démon, je suis le monde
On ne s’approche pas de la vérité sans se brûler
16/
(il faut) Purifier par le feu
La folie de l’homme
Réduire a néant
Ses traces, son présent
Voici l’éveil noir
Par le feu et par l’eau
Jaillira l’ultime solution
Par la terre et par le vent
Vous entendrez son nom
L’éveil noir, l’éveil noir, l’éveil noir
Quand le décompte commencera
Il n’y aura plus de place
Pour tout homme pour toute race
La prière ne suffira pas
Qui du juste, qui de l’assassin
Est en droit d’être gracié ?
Le sang irrigue les chairs à damner
Et coule impair de sorte à tuer
Par l’église érigée
Intransigeante transgression
Par la folie insensée
Exigence de la transformation
Remplace le cœur par le charbon
Saisie toi de l’arme absolue
Laboure les champs inconnus
Danse sur les cendres de la civilisation
Tu craches tes cris, tes soupirs
Tu t’accroches tu respire
Tes doigts ont des cers inutiles
Quand tu sais l’emprise de l’éveil noir
17/
Ici la mort
Peur étrange qui envahit
Le cœur (impur) des impies
Ici la mort
Le fait d’une minorité
Engendre la haine chez une majorité
Contrôlons vos esprits
Vos crises, vos conflits
Ici la mort, ici la mort
La mort est belle mon ami
Sombre et charnelle, tu me suis
La mort est belle et l’espoir y est éternel
Et ici le sort est jeté ici la mort
Un pacte est scellé ici la mort
Les forces du progrès ici la mort
Mais la nature décimée ici la mort
ici la mort, ici la mort
ici la mort qui s’émisse dans vos cerveaux putrides
ici la mort, ici la mort qui va frapper
ici la mort, feu et forets
ici la mort, ici la mort, fleuve ensanglanté
ici la mort, furieuse et passionnée
ici la mort ici la mort fantôme ou rêve brisé
ici la mort folie de l’humanité
ici la mort, ici la mort…
18/
Riez, riez petits ogres nus
mais déjà dans vos veines le sang
ne circule plus
tout ce que l’homme construit peut etre détruit
par la nature ou par lui
toutes œuvres de la nature est indestructibles
quiconque prétendrait le contraire
serait invariablement qualifié
de petit prétentieux
car la nature existe depuis l’aube des temps
j’affirme cela car j’en appelle aux éléments de la mémoire
la voûte céleste confirme l’éternité de la nature
par la profonde respiration qu’elle insuffle chaque nuit
aux antipodes de la conscience universelle
les œufs font des poussins ou des serpents
peut être que tout que ce qui est beau est moins vrai ?
19/
Ou sont les passions verdoyantes ?
Rendez nos nuages fantasques
Et les rivières qui courent sur les pentes
Promettez un salut fastueux
Du sang de la terre sur la chair
De La chair déchirée par delà le temps
20/
Etre né sans en avoir été prévenu
Camisole corporelle, carnivore éventuel
Ecarté avec soins des rouages obligés
Ecartelé pour le moins entre le rouge et l’épée
Enfoncé comme un clou de cercueil
Défoncé comme un trou plein d’orgueil
Place aux prêcheurs de l’inutile
Gonflés de salive putride
21/
J’ai parcouru la moitié du chemin
Je sui un nazi bienveillant !
22/
aux pieds des montagnes, dans les forets
dans les ronces aux plaintes dignes et silencieuses
dans les marécages qui nous portent au crépuscule
j’ai senti ton œuvre
De la ou on ne revient pas j’écris des mots…
Du cœur a l’esprit en passant par la parole
Le don de soi pour salut
Avec une serénité éternelle
Je conclu
Emeth descendit Ad Infernos