« Celui qui désire la perfection de l’âme doit adorer le lingam. » — Linga Purana
« Suce la queue jusqu’à ce que tu ne puisses plus penser. » — Daniel Suders, The Fourteen Steps
Le Tantra, en tant que pratique spirituelle, a capté l’attention des défenseurs de la Spiritualité gay. Quelques écrivains, tels que Jeffrey J. Kripal, se sont appliqués à démontrer qu’en dépit de la structure et du vocabulaire des textes tantriques, les pratiques homoérotiques ont existé historiquement, en tant que sadhanas (pratiques) secrets. Cette quête de preuves historiques a sa légitimité ; elle fascine ceux d’entre nous qui ont envie de redécouvrir les archétypes et les mythes gay ou bisexuels, mais nous ne devons pas oublier que le Tantra est une discipline — et une pratique — vivante. L’enjeu, pour les pratiquants modernes, réside donc moins dans l’intérêt porté aux anciens textes et aux antiques pratiques, que dans l’esprit même du Tantra et la façon de le rendre viable pour nos besoins et nos désirs contemporains.
Le terme de Lingam, en sanskrit, signifie « signe ». Shiva, en tant qu’Absolu — celui qui est non manifesté et qui ne peut être perçu qu’au travers de sa création — est la source de vie dont est issu le monde. Ceci est le principe sur lequel repose la vénération du phallus dans le mysticisme Shivaite.
« Shiva est sans signe, sans couleur, sans goût, sans odeur, hors d’atteinte des mots ou du toucher, sans qualité, immuable et immobile. »
« Le signe distinctif par lequel on peut reconnaître la nature de quelque chose est par conséquent nommé Lingam. » — Linga Purana
Selon certaines légendes, le Shivalingam perce les trois mondes ou les trois cités. Dans une version, il est dit que les dieux Brahma et Vishnu débattaient pour savoir lequel des deux était le plus grand, quand apparut devant eux une immense colonne de lumière. Brahma, monté sur son cygne, s’éleva afin d’en trouver le sommet alors que Vishnu, prenant la forme d’un ver descendit vers ses fondations. Mais bien que leur recherche durât des milliers d’années, ils ne purent découvrir ni le sommet ni les fondations. Finalement, ils trouvèrent une fleur Ketali qui était tombée de la tête du lingam. Le fleur leur dit qu’elle avait chuté pendant 10 éons et que nul ne savait combien de temps encore cela aurait pu lui prendre d’atteindre le sol.
Ainsi, nous pouvons comprendre que le lingam est l’axis mundi primordial — une sorte d’arbre-monde ou d’échelle de chamane qui traverse tous les univers connus. Dans le microcosme, le lingam s’élance du bindu (point) au centre du triangle formé par Iccha-Kriya-Jnana Shaktis (les puissances de l’acte-pensée de décision) et s’élève en transperçant les chakras.
Une conception centrale du Tantra est celle de l’immanence divine — c’est-à-dire que le divin peut être expérimenté par l’adoration du dieu ou de la déesse sous une forme vivante. Ceci apparaît communément dans les formes de puja tantra (tantra rituel) où la divinité est adorée sous la forme d’une femme. Jeffrey Kripal mentionne les enseignements de Vaishnavacharan, un trantrika contemporain de Ramakrishna, dont la secte Kartabhaja pratiquait la méthode de la « joie en Dieu sous la forme humaine ». C’est-à-dire que les adeptes de Vaishnavacharan cherchaient l’expérience du divin en faisant de l’homme vivant le sujet de leurs adorations. Kripal sous-entend que cela comprenait des jeux sexuels.
Blowjob Bhakti
Un des thèmes centraux homoérotiques dans la mythologie hindouiste est celui d’Agni avalant la semence de Shiva, acte qui mène à une chaîne d’événements culminants avec la naissance du dieu Skanda. Skanda est considéré par certains écrivains comme l’objet de dévotion d’un culte homoérotique en Inde et ailleurs.
« Alors, de son linga, Shiva émit sa semence parfaite qui avait le parfum fragrant du jasmin ou du lotus bleu. Agni la prit dans ses mains et la but, se réjouissant tout en pensant : Élixir ! “et alors, Shiva disparut.” » — Saura Purana, cité in Conner, Sparks & Sparks, p. 44.
La semence est la forme la plus pure d’élixir sacrificiel — l’offrande du soma donnant le feu du désir. Les textes védiques contiennent nombre de références à la semence en tant que nourriture. À un niveau ésotérique, l’ingestion de semence est une forme d’eucharistie par laquelle la déité réside dans la semence et pénètre dans le corps de l’adepte. Les propriétés magiques de l’ingestion de la semence apparaissent dans une grande variété de contextes culturels.
Sucer une bite est un acte d’adoration. S’agenouiller devant un homme est une adoration ou un abaissement. Accepter la semence d’un étranger ou d’un amant est immensément puissant. Un pouvoir réside dans le fait de s’abandonner soi-même, comme dans l’habileté de celui qui, grâce à sa passion et son savoir, suscite le plaisir de l’autre.
Dans le Kama Sutra, la fellation est nommée auparishtaka et sa pratique est associée à la hijras ou prostitution masculine. Bien que décrivant les huit manières de la pratiquer, Vatsyayana met en garde contre cet usage. De telles injonctions ne peuvent, cependant, s’appliquer, aux pratiquants du tantra.
Jivantalingapuja — Adoration du Lingam Vivant
Ceci est un exemple, utilisant les principes tantriques, de puja sexuelle employant la fellation. Ce « rite » doit être pratiqué extérieurement — c’est-à-dire avec un partenaire magicien — ou intérieurement — dans ce cas, le partenaire est inconscient des éléments « magiques » de l’acte. Ceci est toutefois contraire aux textes qui requièrent que l’acte de magie sexuelle soit uniquement pratiqué avec deux partenaires magiquement consentants. Mais c’est une question de goût et de préférence personnels. Il existe un débat au sein de la communauté magique quant aux dangers de pratiquer avec quelqu’un qui n’est pas conscient de la dimension magique de l’acte. Je peux simplement dire que j’ai été utilisé de cette manière par des hommes et des femmes, tout en étant inconscient de cet usage et cela ne m’a jamais inquiété.
Salutation à Ganesha
Une salutation à Ganesha – salutation que Shiva a décrété devoir être exécutée avant tout autre acte de bon augure, doit être effectuée. Cette salutation est doublement appropriée puisque Ganesha est le gardien et veilleur de la porte du Muladhara Chakra. Le pénis, tout particulièrement s’il est flasque doit être adoré en tant que trompe de Ganesha.
Om, je salue le Seigneur de la Trompe
Om Ganapati Namah
Baigner le Phallus
Baigner le phallus est un acte de purification le préparant à devenir le véhicule de la déité. Ceci peut être pratiqué comme un rituel d’oblation ou avec la langue.
Nyasa
Nyasa (le placement) est l’acte rituel d’identification du corps avec la déité. Ici encore, cela peut se faire de manière rituelle ou en silence, par des massages et de la masturbation.
Om, je salue Shiva dans les couilles
Na, je salue Shiva à la racine
Ma, je salue Shiva dans le puits
Shi, je salue Shiva dans la couronne
Va, je salue Shiva dans la cime
Ya, je salue Shiva dans les yeux
Invocation de la déité
L’invocation de la déité (ici Shiva) est traditionnellement opérée par le pratiquant en s’identifiant à la déité au travers de méditations et ensuite en extériorisant la déité dans l’objet par le souffle. Ici, il peut être utile de s’identifier à Agni avant d’insuffler et de masturber le pénis afin qu’il devienne la résidence du dieu.
La déité étant à présent dans le pénis, elle peut donc être adorée. On peut choisir les délicieuses proses des tantras ou d’autre chose plus contemporaines, selon les circonstances. Certains partenaires, toutefois, peuvent être quelque peu surpris d’entendre leur pénis décrit comme « resplendissant de la lumière de milliers de soleils ».
Coïts supérieurs
Le Kama Sutra décrit les « huit voies » de la fellation : nous reportons le lecteur à cet ouvrage.
Consommer le Soma
Si quelqu’un veut faire cela, alors l’essence divine doit être gardée en bouche tandis que l’autre médite sur la force de Shiva, avant d’être avalée ou partagée. Alternativement, une capote remplie peut être conservée pour une pratique ultérieure d’onction.
Katon Shual a également fait remarquer que la semence séchée pouvait être brûlée et que les cendres pouvaient être consommées sans aucun danger.
L’acte physique peut être accompagné d’une visualisation appropriée — par exemple, si l’un prend la forme d’Agni, alors sa chaleur peut être visualisée et ressentie comme consumant les impuretés du corps ou kleshas qui empêchent la spontanéité.
La puja (rituel) peut être clôturée rituellement, ou simplement par un « hmmmm » (Aum) de satisfaction.
La durée de la puja dépend du temps et des circonstances. En sa forme extrême, elle peut même s’avérer être un exercice assez dur. L’adepte expérimenté cependant peut pratiquer un rite intérieur très rapidement, en utilisant toutes les opportunités qui se présentent à lui.
Sources
Cassell’s Encyclopedia of Queer Myth, Symbol and Spirit, Conner, Sparks & Sparks, Cassell, 1997
The Complete Kama Sutra, Alain Daniélou, Park Street Press, 1994
The Myths and Gods of India, Alain Daniélou, Inner Traditions, 1991
The Phallus : Sacred Symbol of Male Creative Power, Alain Daniélou, Inner traditions, 1995
Rebels & Devils : The Psychology of Liberation, Christopher S. Hyatt (ed), New Falcon Publications, 1996
Kali’s Child : The Mystical and the Erotic in the Life and Teachings of Ramakrishna, Jeffrey J. Kripal, University of Chicago Press, 1995
Women, Androgynes, and Other Mythical Beasts, Wendy Doniger O’Flaherty, University of Chicago Press, 1980
De l’Adoration du Lingam, Kalkinath (Phil Hine). Traduction française par Spartakus FreeMann.
De l’Adoration du Lingam par Kalkinath.
« Celui qui désire la perfection de l’âme doit adorer le lingam. » — Linga Purana
« Suce la queue jusqu’à ce que tu ne puisses plus penser. » — Daniel Suders, The Fourteen Steps
Le Tantra, en tant que pratique spirituelle, a capté l’attention des défenseurs de la Spiritualité gay. Quelques écrivains, tels que Jeffrey J. Kripal, se sont appliqués à démontrer qu’en dépit de la structure et du vocabulaire des textes tantriques, les pratiques homoérotiques ont existé historiquement, en tant que sadhanas (pratiques) secrets. Cette quête de preuves historiques a sa légitimité ; elle fascine ceux d’entre nous qui ont envie de redécouvrir les archétypes et les mythes gay ou bisexuels, mais nous ne devons pas oublier que le Tantra est une discipline — et une pratique — vivante. L’enjeu, pour les pratiquants modernes, réside donc moins dans l’intérêt porté aux anciens textes et aux antiques pratiques, que dans l’esprit même du Tantra et la façon de le rendre viable pour nos besoins et nos désirs contemporains.
Cet article présente une dimension tantrique de la fellation, et décrit une puja (rituel) utilisée pour dédier une pipe à Shiva.
Le Lingam de Shiva
Le terme de Lingam, en sanskrit, signifie « signe ». Shiva, en tant qu’Absolu — celui qui est non manifesté et qui ne peut être perçu qu’au travers de sa création — est la source de vie dont est issu le monde. Ceci est le principe sur lequel repose la vénération du phallus dans le mysticisme Shivaite.
« Shiva est sans signe, sans couleur, sans goût, sans odeur, hors d’atteinte des mots ou du toucher, sans qualité, immuable et immobile. »
« Le signe distinctif par lequel on peut reconnaître la nature de quelque chose est par conséquent nommé Lingam. » — Linga Purana
Selon certaines légendes, le Shivalingam perce les trois mondes ou les trois cités. Dans une version, il est dit que les dieux Brahma et Vishnu débattaient pour savoir lequel des deux était le plus grand, quand apparut devant eux une immense colonne de lumière. Brahma, monté sur son cygne, s’éleva afin d’en trouver le sommet alors que Vishnu, prenant la forme d’un ver descendit vers ses fondations. Mais bien que leur recherche durât des milliers d’années, ils ne purent découvrir ni le sommet ni les fondations. Finalement, ils trouvèrent une fleur Ketali qui était tombée de la tête du lingam. Le fleur leur dit qu’elle avait chuté pendant 10 éons et que nul ne savait combien de temps encore cela aurait pu lui prendre d’atteindre le sol.
Ainsi, nous pouvons comprendre que le lingam est l’axis mundi primordial — une sorte d’arbre-monde ou d’échelle de chamane qui traverse tous les univers connus. Dans le microcosme, le lingam s’élance du bindu (point) au centre du triangle formé par Iccha-Kriya-Jnana Shaktis (les puissances de l’acte-pensée de décision) et s’élève en transperçant les chakras.
Une conception centrale du Tantra est celle de l’immanence divine — c’est-à-dire que le divin peut être expérimenté par l’adoration du dieu ou de la déesse sous une forme vivante. Ceci apparaît communément dans les formes de puja tantra (tantra rituel) où la divinité est adorée sous la forme d’une femme. Jeffrey Kripal mentionne les enseignements de Vaishnavacharan, un trantrika contemporain de Ramakrishna, dont la secte Kartabhaja pratiquait la méthode de la « joie en Dieu sous la forme humaine ». C’est-à-dire que les adeptes de Vaishnavacharan cherchaient l’expérience du divin en faisant de l’homme vivant le sujet de leurs adorations. Kripal sous-entend que cela comprenait des jeux sexuels.
Blowjob Bhakti
Un des thèmes centraux homoérotiques dans la mythologie hindouiste est celui d’Agni avalant la semence de Shiva, acte qui mène à une chaîne d’événements culminants avec la naissance du dieu Skanda. Skanda est considéré par certains écrivains comme l’objet de dévotion d’un culte homoérotique en Inde et ailleurs.
« Alors, de son linga, Shiva émit sa semence parfaite qui avait le parfum fragrant du jasmin ou du lotus bleu. Agni la prit dans ses mains et la but, se réjouissant tout en pensant : Élixir ! “et alors, Shiva disparut.” » — Saura Purana, cité in Conner, Sparks & Sparks, p. 44.
La semence est la forme la plus pure d’élixir sacrificiel — l’offrande du soma donnant le feu du désir. Les textes védiques contiennent nombre de références à la semence en tant que nourriture. À un niveau ésotérique, l’ingestion de semence est une forme d’eucharistie par laquelle la déité réside dans la semence et pénètre dans le corps de l’adepte. Les propriétés magiques de l’ingestion de la semence apparaissent dans une grande variété de contextes culturels.
Sucer une bite est un acte d’adoration. S’agenouiller devant un homme est une adoration ou un abaissement. Accepter la semence d’un étranger ou d’un amant est immensément puissant. Un pouvoir réside dans le fait de s’abandonner soi-même, comme dans l’habileté de celui qui, grâce à sa passion et son savoir, suscite le plaisir de l’autre.
Dans le Kama Sutra, la fellation est nommée auparishtaka et sa pratique est associée à la hijras ou prostitution masculine. Bien que décrivant les huit manières de la pratiquer, Vatsyayana met en garde contre cet usage. De telles injonctions ne peuvent, cependant, s’appliquer, aux pratiquants du tantra.
Jivantalingapuja — Adoration du Lingam Vivant
Ceci est un exemple, utilisant les principes tantriques, de puja sexuelle employant la fellation. Ce « rite » doit être pratiqué extérieurement — c’est-à-dire avec un partenaire magicien — ou intérieurement — dans ce cas, le partenaire est inconscient des éléments « magiques » de l’acte. Ceci est toutefois contraire aux textes qui requièrent que l’acte de magie sexuelle soit uniquement pratiqué avec deux partenaires magiquement consentants. Mais c’est une question de goût et de préférence personnels. Il existe un débat au sein de la communauté magique quant aux dangers de pratiquer avec quelqu’un qui n’est pas conscient de la dimension magique de l’acte. Je peux simplement dire que j’ai été utilisé de cette manière par des hommes et des femmes, tout en étant inconscient de cet usage et cela ne m’a jamais inquiété.
Salutation à Ganesha
Une salutation à Ganesha – salutation que Shiva a décrété devoir être exécutée avant tout autre acte de bon augure, doit être effectuée. Cette salutation est doublement appropriée puisque Ganesha est le gardien et veilleur de la porte du Muladhara Chakra. Le pénis, tout particulièrement s’il est flasque doit être adoré en tant que trompe de Ganesha.
Om, je salue le Seigneur de la Trompe
Om Ganapati Namah
Baigner le Phallus
Baigner le phallus est un acte de purification le préparant à devenir le véhicule de la déité. Ceci peut être pratiqué comme un rituel d’oblation ou avec la langue.
Nyasa
Nyasa (le placement) est l’acte rituel d’identification du corps avec la déité. Ici encore, cela peut se faire de manière rituelle ou en silence, par des massages et de la masturbation.
Om, je salue Shiva dans les couilles
Na, je salue Shiva à la racine
Ma, je salue Shiva dans le puits
Shi, je salue Shiva dans la couronne
Va, je salue Shiva dans la cime
Ya, je salue Shiva dans les yeux
Invocation de la déité
L’invocation de la déité (ici Shiva) est traditionnellement opérée par le pratiquant en s’identifiant à la déité au travers de méditations et ensuite en extériorisant la déité dans l’objet par le souffle. Ici, il peut être utile de s’identifier à Agni avant d’insuffler et de masturber le pénis afin qu’il devienne la résidence du dieu.
Adoration du Lingam
La déité étant à présent dans le pénis, elle peut donc être adorée. On peut choisir les délicieuses proses des tantras ou d’autre chose plus contemporaines, selon les circonstances. Certains partenaires, toutefois, peuvent être quelque peu surpris d’entendre leur pénis décrit comme « resplendissant de la lumière de milliers de soleils ».
Coïts supérieurs
Le Kama Sutra décrit les « huit voies » de la fellation : nous reportons le lecteur à cet ouvrage.
Consommer le Soma
Si quelqu’un veut faire cela, alors l’essence divine doit être gardée en bouche tandis que l’autre médite sur la force de Shiva, avant d’être avalée ou partagée. Alternativement, une capote remplie peut être conservée pour une pratique ultérieure d’onction.
Katon Shual a également fait remarquer que la semence séchée pouvait être brûlée et que les cendres pouvaient être consommées sans aucun danger.
L’acte physique peut être accompagné d’une visualisation appropriée — par exemple, si l’un prend la forme d’Agni, alors sa chaleur peut être visualisée et ressentie comme consumant les impuretés du corps ou kleshas qui empêchent la spontanéité.
La puja (rituel) peut être clôturée rituellement, ou simplement par un « hmmmm » (Aum) de satisfaction.
La durée de la puja dépend du temps et des circonstances. En sa forme extrême, elle peut même s’avérer être un exercice assez dur. L’adepte expérimenté cependant peut pratiquer un rite intérieur très rapidement, en utilisant toutes les opportunités qui se présentent à lui.
Sources