Rien de tel que l’antédiluvien ! Sous l’épaisse poussière qui recouvre le cuir des vieux grimoires, repose une sagesse dont les maillons se perdent dans l’infini du passé tout en étant d’une surprenante modernité ! Lorsqu’on la chance de parcourir l’un de ces anciens tomes, on y découvre des clartés inédites, des recettes ignorées de notre époque (hélas embourbée dans un affreux matérialisme) & ô merveille, on s’aperçoit que tout cela n’a pas pris une ride !
L’archimage Endemoniada et moi-même avons eu cet inestimable privilège. Au terme d’une longue et aventureuse quête semée d’embuches, chanceux dirons certains, guidés par la providence soutiendront d’autres, l’un des ces opus au pouvoir inquiétant et à la Sorcellerie incontestable a atterri entre nos mains.
Le Ferpent bleu en était le titre.
Nulle part nous ne trouvâmes mention de cet ancien manuscrit, cependant après quelques recherches au carbone 14 et au pastis 51, nous parvînmes à la conclusion que l’ouvrage datait de la construction du Temple de falomon et synthétisait toute la connaissance des peuples Atlante & Essenien en quelques dizaines de feuillets.
Et tout cela encore plein d’actualité, pour ne pas dire avant-gardiste. Ainsi, l’extraordinaire passage sur la conservation des fromages dans des outres en panse de bovin, ou celui sur « Comment bien nettoyer les petites plaies qui viennent à l’anus pendant les foins ».
Mieux encore ! Dans la double boucle qui sert de parade à l’augmentation de la gabelle, Frater Endemoniada a reconnu la spirale d’ADN et moi-même, je ne pense pas me tromper en affirmant que « Il est passé par ici, il repassera par là » est une allusion aux théorèmes quantiques concernant la double nature des photons.
Et, il nous reste encore bien du chemin à parcourir mais nous pouvons déjà le tonitruer : cette découverte est capitale pour la pérennité de la Connaissance !
Ci-joint en exclusivité, et c’est bien parce que c’est vous, une image de ce trésor inestimable :
Par Melmothia
Rien de tel que l’antédiluvien ! Sous l’épaisse poussière qui recouvre le cuir des vieux grimoires, repose une sagesse dont les maillons se perdent dans l’infini du passé tout en étant d’une surprenante modernité ! Lorsqu’on la chance de parcourir l’un de ces anciens tomes, on y découvre des clartés inédites, des recettes ignorées de notre époque (hélas embourbée dans un affreux matérialisme) & ô merveille, on s’aperçoit que tout cela n’a pas pris une ride !
L’archimage Endemoniada et moi-même avons eu cet inestimable privilège. Au terme d’une longue et aventureuse quête semée d’embuches, chanceux dirons certains, guidés par la providence soutiendront d’autres, l’un des ces opus au pouvoir inquiétant et à la Sorcellerie incontestable a atterri entre nos mains.
Le Ferpent bleu en était le titre.
Nulle part nous ne trouvâmes mention de cet ancien manuscrit, cependant après quelques recherches au carbone 14 et au pastis 51, nous parvînmes à la conclusion que l’ouvrage datait de la construction du Temple de falomon et synthétisait toute la connaissance des peuples Atlante & Essenien en quelques dizaines de feuillets.
Et tout cela encore plein d’actualité, pour ne pas dire avant-gardiste. Ainsi, l’extraordinaire passage sur la conservation des fromages dans des outres en panse de bovin, ou celui sur « Comment bien nettoyer les petites plaies qui viennent à l’anus pendant les foins ».
Mieux encore ! Dans la double boucle qui sert de parade à l’augmentation de la gabelle, Frater Endemoniada a reconnu la spirale d’ADN et moi-même, je ne pense pas me tromper en affirmant que « Il est passé par ici, il repassera par là » est une allusion aux théorèmes quantiques concernant la double nature des photons.
Et, il nous reste encore bien du chemin à parcourir mais nous pouvons déjà le tonitruer : cette découverte est capitale pour la pérennité de la Connaissance !
Ci-joint en exclusivité, et c’est bien parce que c’est vous, une image de ce trésor inestimable :