Par Ish’em
Les runes sont un langage vernaculaire utilisé par les Germains et les Scandinaves avant la christianisation pour sceller des hommages importants à des gens de renom, pour envoyer des sortilèges et faire de la divination.
On, appelle cela les pratiques vitki et le praticien un Vitkar.
Il s’agit d’un alphabet multiséculaire à 24 lettres + wird ( le divin, le destin…. etc.) que l’on appelle futhark, d’après les 6 premières lettres :
Fehur , Uruz , THurisaz , Ansuz , Kenaz
Cependant, plusieurs alphabets existent, pour ma part j’utilise l’Elder Futhark, le Germain, mais il existe le FuthOrk anglais et on trouve aussi des runes hongroises (les rovas) et même turques ( alphabet de l’orkon)
Ma méthode de divination nécessite seulement un jeu de runes gravées ou achetées (j’ai acheté les miennes, mais je n’utilise pas le bouquin vendu avec) et un linge blanc pour les disposer.
On commence par interroger les quatre nains qui soutiennent de leur force les quatre piliers de l’univers aux quatre points cardinaux sur l’environnement énergétique et spirituel.
On pose donc, en piochant au fur et à mesure dans le sac, une rune par direction.
Les quatre points cardinaux sont
Nordri, Sudri, Vestri et Estri
Après la réponse, on pose la question à laquelle on désire obtenir une réponse en posant la question au centre en ayant auparavant secoué 3 fois le sac en ayant dit :
Futhark, je te remercie de la réponse que tu vas m’apporter.
Ensuite viennent les solutions, on demande aux quatre éléments une voie pour résoudre le problème qui se pose.
On pose donc, aux quatre coins du carré/rectangle magique, quatre runes qui correspondent aux quatre éléments sacrés de l’univers :
le Feu, la glace/eau, l’air/éther et la terre.
L’interprétation de la réponse est simple, mais nécessiteuse d’avoir une petite connaissance des symboles et signification ancestrale des runes. Pour se faire, il n’y a pas de secret : il faut se documenter.
Deux auteurs sérieux existent à propos de la magie runique :
Eddred Thorson et Yves Kodratoff.
Il faut faire attention et ne pas faire confiance aux autres charlatans qui écrivent tout et n’importe quoi à propos des runes. Il serait bon aussi de disposer d’un exemplaire de l’Edda de Snorri Sturluson, mais on en trouve plusieurs versions.
Il y a l’Edda en prose que je possède, préfacé et annoté par Georges Dumézil, celui-ci contient des histoires de pouvoir, mais aucune explication sur l’usage des runes, et il y a l’Edda poétique qui lui contient les clefs nécessaires pour comprendre les runes, à travers les sagas et les poèmes eddiques.
Il faut se rappeler que l’interprétation dépend de ce que les piliers déclarent et les sentiers de résolution du problème posé dépendent des quatre éléments
Tout est lié, mais pourtant l’environnement, la question et les voies de résolution sont indépendants… C’est le paradoxe des runes qui sont une signification, une sonorité et une graphie.
Il faut aussi savoir que toutes les runes sont toutes reliées entre elles par leur sonorité/prononciation et leur graphie :
Othala/ansuz , Gebo/othala, Elhaz/Zingu
… etc.
Voilà, ceci est ma méthode de divination, que j’utilise depuis une dizaine d’années, et j’espère qu’elle sera utile à d’autres que moi.
Il faut avoir conscience que l’utilisation des runes reste confidentielle en France et les pratiquants du Seirdh (chamanisme d’Odin/Woddan ) peu nombreux tandis que le culte Asatruar (Ase, du nom des dieux germaniques et tru> la confiance) est un culte officiel en Islande.
Divination avec les runes, Ish’em
P.-S. : Attention : jouer avec les runes n’est pas sans danger et une réponse mal interprétée peut provoquer de véritables catastrophes.
Par Ish’em
Les runes sont un langage vernaculaire utilisé par les Germains et les Scandinaves avant la christianisation pour sceller des hommages importants à des gens de renom, pour envoyer des sortilèges et faire de la divination.
On, appelle cela les pratiques vitki et le praticien un Vitkar.
Il s’agit d’un alphabet multiséculaire à 24 lettres + wird ( le divin, le destin…. etc.) que l’on appelle futhark, d’après les 6 premières lettres :
Fehur , Uruz , THurisaz , Ansuz , Kenaz
Cependant, plusieurs alphabets existent, pour ma part j’utilise l’Elder Futhark, le Germain, mais il existe le FuthOrk anglais et on trouve aussi des runes hongroises (les rovas) et même turques ( alphabet de l’orkon)
Ma méthode de divination nécessite seulement un jeu de runes gravées ou achetées (j’ai acheté les miennes, mais je n’utilise pas le bouquin vendu avec) et un linge blanc pour les disposer.
On commence par interroger les quatre nains qui soutiennent de leur force les quatre piliers de l’univers aux quatre points cardinaux sur l’environnement énergétique et spirituel.
On pose donc, en piochant au fur et à mesure dans le sac, une rune par direction.
Les quatre points cardinaux sont
Nordri, Sudri, Vestri et Estri
Après la réponse, on pose la question à laquelle on désire obtenir une réponse en posant la question au centre en ayant auparavant secoué 3 fois le sac en ayant dit :
Futhark, je te remercie de la réponse que tu vas m’apporter.
Ensuite viennent les solutions, on demande aux quatre éléments une voie pour résoudre le problème qui se pose.
On pose donc, aux quatre coins du carré/rectangle magique, quatre runes qui correspondent aux quatre éléments sacrés de l’univers :
le Feu, la glace/eau, l’air/éther et la terre.
L’interprétation de la réponse est simple, mais nécessiteuse d’avoir une petite connaissance des symboles et signification ancestrale des runes. Pour se faire, il n’y a pas de secret : il faut se documenter.
Deux auteurs sérieux existent à propos de la magie runique :
Eddred Thorson et Yves Kodratoff.
Il faut faire attention et ne pas faire confiance aux autres charlatans qui écrivent tout et n’importe quoi à propos des runes. Il serait bon aussi de disposer d’un exemplaire de l’Edda de Snorri Sturluson, mais on en trouve plusieurs versions.
Il y a l’Edda en prose que je possède, préfacé et annoté par Georges Dumézil, celui-ci contient des histoires de pouvoir, mais aucune explication sur l’usage des runes, et il y a l’Edda poétique qui lui contient les clefs nécessaires pour comprendre les runes, à travers les sagas et les poèmes eddiques.
Il faut se rappeler que l’interprétation dépend de ce que les piliers déclarent et les sentiers de résolution du problème posé dépendent des quatre éléments
Tout est lié, mais pourtant l’environnement, la question et les voies de résolution sont indépendants… C’est le paradoxe des runes qui sont une signification, une sonorité et une graphie.
Il faut aussi savoir que toutes les runes sont toutes reliées entre elles par leur sonorité/prononciation et leur graphie :
Othala/ansuz , Gebo/othala, Elhaz/Zingu
… etc.
Voilà, ceci est ma méthode de divination, que j’utilise depuis une dizaine d’années, et j’espère qu’elle sera utile à d’autres que moi.
Il faut avoir conscience que l’utilisation des runes reste confidentielle en France et les pratiquants du Seirdh (chamanisme d’Odin/Woddan ) peu nombreux tandis que le culte Asatruar (Ase, du nom des dieux germaniques et tru> la confiance) est un culte officiel en Islande.
P.-S. : Attention : jouer avec les runes n’est pas sans danger et une réponse mal interprétée peut provoquer de véritables catastrophes.