Mystérieuse gravité
La gravité reste un profond mystère pour la science matérialiste, même si elle donne l’illusion de l’avoir « cernée » et localisée, il n’en est rien. C’est d’ailleurs la gravité qui est la pierre d’achoppement entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Car au niveau des particules, la gravité est introuvable : elle n’existe pas dans la matière ! Dire cela est impossible pour un matérialiste qui voit et constate que les lois cosmiques sont régies par la gravité, qui est là-bas, magistrale, terrible et colossale… Ainsi, si la gravité est dans le grand, forcément elle doit être dans le petit : le grand étant la somme des petits.
Einstein modifia ainsi la théorie de Newton. Pour Newton, la gravité était dans la matière, comme un étrange attracteur, un aimant secret. Plus il y a de matière, plus l’aimant est puissant et plus il attire à lui… Comme on ne trouve rien dans la matière, Einstein propose de localiser la gravité dans un « éther », qu’il nomme l’espace-temps. Cette substance se plie, s’étire, se contracte au voisinage d’une masse de matière. La gravité devient un « champ », une force « effet », causée par la contraction de l’éther espace-temps.
Dire cela reporte le problème de la causalité ailleurs… et amène des problèmes conséquents. Car de quelle « matière » est composé cet éther ? A-t-il un bord ou est-il infini ? S’il plie sous l’effet de forces matérielles, c’est qu’il doit être matériel… De l’espace-temps matériel ? Difficile de l’imaginer.
Paradoxe paradoxal…
Pour résoudre un paradoxe, il faut le séparer en deux paradoxes, puis décider qu’ils ne sont pas des paradoxes et remonter le tout : on a alors un paradoxe non paradoxal résolu. Ainsi, on a décidé que la lumière était une matière, puisqu’elle « pliait » sous la gravité (lentilles gravitationnelles), mais en même temps une onde, un effet de vague, car son comportement impose le fait que sa « masse » est nulle. On a donc un objet à la fois cause (particule) et effet (onde), avec un poids (particule), mais nul (onde)… Un vrai et superbe paradoxe paradoxal.
Là-dessus, on se dit que tout est résolu… C’est sans compter l’expérience ! Car cette « construction théorique » ne fonctionne pas au niveau du petit. À ce niveau, on constate par l’expérience (intrication, superposition… ) que le temps et l’espace sont nuls et par conséquent l’espace-temps ! Zut ! La théorie quantique est en effet une théorie physique non locale (non spatiale). Dès lors où se cache la gravité ?
Cachette gravitaire interdite
Et si l’on cherchait du côté des « gravités » interdites, des lévitations constatées partout dans le monde, des marches sur les eaux, des phénomènes de bilocation, de transverbération, etc.
Ces phénomènes de gravité interdite (car la science interdit à ces faits d’exister sous peine d’être interdit d’existence) ont comme point commun qu’ils sont impossibles à imaginer avec une gravité « officielle ». En effet, pour pouvoir vaincre l’attraction, la seule voie autorisée est de fournir une quantité d’Énergie supérieure à celle qui attire notre masse. C’est la technique du moteur, de la fusée, etc.
Un homme qui lévite devrait donc avoir un moteur pour faire lever sa matière et consommer une matière fossile considérable. Si on ne constate aucun moteur, c’est que c’est une histoire à dormir debout…. Or la lévitation ne fait aucun bruit, ne dégage aucune force et laisse les fleurs des champs respirer le silence lors de sa manifestation.
Il faut donc imaginer une autre explication de la gravité et peut-être aussi de la matière.
Témoignages
Et si nous faisions un saut dans le monde de l’expérience » plutôt que celui des théories ?
Oh voici un chien ! « Cave Canem » dit le gendarme ! D’accord réponds-je ! Sur ce, je vois le chien heureux qui sautille, dressé sur ses pattes, il est presque tout le temps en l’air, il s’élance vers le haut, encore et encore, on le voit tout léger, tout fier qu’il est de fêter son maître… Mais il exagère. Le maître lui dit Stop kiki ! Et voici le chien qui baisse la tête, écrase son dos, plie les pattes, il s’aplatit comme écrasé par une chape, il rentre la queue, cherche à prendre le moins de place, se déplace lentement, se recroqueville, tire sa peau vers le bas en ployant les oreilles….
Et voici un footballiste ! il court, il court le furet… ‘Va marquer ouiiiiiii ! Oh il est heureux, et nous le sommes pour lui ! Bravo ! Il saute, lève les bras en l’air, reste un temps incroyable en suspension, semble léger, léger, il touche à peine le sol et cherche à être haut, tirant la tête, les sourcils, la mâchoire, les bras et les jambes. Il cherche à rester dans le ciel… L’autre équipe est abattue, écrasée, les joueurs plient le dos, rentrent la tête, marchent lourdement en tirant la jambe. Ils sont lourds, pesants, ils cherchent à se fondre dans le sol, à s’écraser sous les huées et les sifflets…
« On les a écrasés ! » disent les uns, les autres répliquent « on est à plat ».
Visitons un ostéopathe… Ah voici Gilbert ! Et posons-lui la question : « y a-t-il un lien entre les problèmes de dos et les sentiments du patient ? » « Oui » dit-il. « On constate que les problèmes liés aux vertèbres coïncident toujours avec les composantes émotionnelles que traverse le patient. Avoir mal aux lombaires par exemple signifie la trahison, l’humiliation, le poids sur les épaules. Le sacrum révèle l’emprise de quelqu’un ou quelque chose, le coccyx est lié aux croyances ; les cervicales c’est le déni de soi, culpabilité, colère… Ces sentiments se marquent sur le corps comme un véritable poids physique qui plie les articulations. On est en pleine somatisation, qui est le fait d’imprimer dans les tissus les tensions, les nœuds relatifs au choc émotionnel non -exprimé.
« Merci Monsieur de nous avoir si gentiment répondu ! Au revoir et bonne journée ! »
Ha ! voici un « art martial man »…. Woaaa, il se déploie coulant ses gestes dans des signes et des écritures superbes, le voici s’envolant tel un cèdre du Japon ailé, quelle grâce et quelle souplesse. C’est de toute beauté !… Oh ! cette danseuse ! … Madame, madame, quel est votre secret ? « Je reste toujours positive, c’est la joie qui me donne ma légèreté, après, tout est plus facile et léger ».
Ouuh là… Voici un homme dépressif. Il est tout courbé. Il ne sait pas regarder le ciel sans avoir mal aux vertèbres. Il reste immobile, écrasé par un poids terrible, il commence à avoir des lourdeurs dans les organes, les « humeurs » se souillent, tout est pesant, fatiguant, pénible ; son regard est fuyant ne dépassant jamais la ligne d’horizon. Il ne sait plus ce qu’est un oiseau. La circulation se fait lente et épaisse, la rate se dilate, l’estomac fait de l’acide, il reste couché, assis, à terre…
Oh ! Le bouquetin du zoo ! Il parade parmi ses femelles, en sémillant guilleret… Hmm… Le rival vaincu courbe le dos, rentre les cornes, aplatit la croupe, cherche le sol, s’écrase, se racrapote.
Ah, voici un musicien, un violoniste et là un pianiste… ! Voici qu’ils entament un air « grave » ! Le violoniste fronce les sourcils et se recroqueville sur son instrument, le pianiste courbe le dos et regarde ses touches perpendiculairement en faisant la moue… Oh, un air plus léger et voici le violoniste qui se redresse, tire la tête en haut, monte le poignet et tient le violon verticalement, il danse, il est tout léger, ses sourcils sont tirés, il crie hourra silencieusement et le pianiste dandine de la tête, se lève sur ses fesses et tient les coudes hauts !
Gravité psychique ?
Que tirer de ces expériences ? Et bien que tous les êtres vivants subissent des poids lorsqu’ils se referment sur eux-mêmes et subissent des envolées lorsqu’ils s’ouvrent à la joie. Les mots et les expressions du vocabulaire confirment cela : être grave c’est subir la gravité, être joyeux c’est être léger… La dépression est une cuvette, un écrasement, un poids qui pèse, qui rend à plat… La joie donne des ailes, nous fait planer, nous monte au 7e ciel, etc.
Il y a donc quelque chose qui nous appuie dessus et qui devient intolérable si l’on ferme les portes, mais qui nous porte si on les ouvre… Il s’agirait donc de trouver un équilibre entre une pression « extérieure » et une pression intérieure. L’ouverture établit un équilibre entre les deux pressions et on flotte littéralement. La fermeture nous cloue par la pression extérieure et on est écrasé littéralement.
Pour léviter, il faudrait donc être complètement ouvert afin que la pression extérieure devienne la nôtre, on serait alors en flottaison, sans poids, ni moteur.
Ce constat suppose donc l’existence d’une substance pesante, qui appuie sur nos fermetures. Une substance qui semble être matérielle, car elle déforme nos squelettes et force nos organes. Mais qui est partout à la fois, cherchant à pénétrer tous les systèmes opaques qu’ils soient physiques, mentaux, ou spirituels.
Cela nous porte à croire que ces trois choses sont une même substance…
Imaginons alors que tout l’espace « vide » est plein de quelque chose et que la matière est un trou où ce quelque chose cherche à rentrer. Alors, une planète fait un grand trou dans le quelque chose, qui lui rend en pression. On a une « gravité ». Un objet fait un trou dans le quelque chose comme une bulle dans l’eau et les bulles se rassemblent entre elles par la pression extérieure de l’eau qui cherche à équilibrer. Les plus petits s’assemblant avec les plus grands non pas parce que la bulle vide attire, mais parce que l’eau pleine pousse.
Il s’agit donc de changer complètement notre vision de la gravité et de l’inverser totalement. L’objet attire son semblable parce qu’il est poussé par la substance dans laquelle il se maintient.
Imaginons un système stellaire, comme une galaxie. Sa forme spiralée est due officiellement à la grande matière qu’il y a au centre. Or il est difficile d’expliquer une forme spirale par adjonction de matière. Car dans l’espace toute matière formée par accrétion tend à devenir parfaitement sphérique (planètes, étoiles, whisky du capitaine Haddock) ! ici, on dirait plutôt la forme que prend l’eau qui s’écoule dans le trou de l’évier. La matière possède bien le comportement du « trou » et le vide du « plein ».
Pour une nouvelle définition du monde
Nous avons vu plus haut que nos sentiments pliaient nos os. Rien n’empêche alors qu’ils plient les os des autres. Il y a donc un lien évident entre l’« extérieur » et l’« intérieur », entre ce que les anciens appelaient macrocosme et microcosme. De plus, on est amené à penser que la substance « pesante » soit également présente à l’intérieur et à l’extérieur. Et comme nous avons vu que les systèmes physiques, mentaux ou spirituels étaient une seule et même substance par le fait que la gravité y agit avec les mêmes effets, on peut considérer que la substance pesante est le + et la substance matricielle (qui reçoit) est le -. On se retrouve avec le + et le -, le yang et le yin, le Roi et la Reine, la lumière et les ténèbres.
Ainsi, il existe une lumière imprégnant macrocosme et microcosme. Elle est invisible par le fait qu’elle est immobile. Là dedans, il y a de l’agitation par l’information qui y est introduite. Cette agitation crée des vides, des trous, car elle s’oppose à la stabilité. Ces trous sont appelés matière et la lumière appuie dessus. Ils sont ténèbres, noirs comme Isis et la lumière les pénètre en y produisant des vies fécondes et magnifiques. Les vides les plus obscurs sont les corps les plus opaques. L’homme est à la médiation de ces noces… Né de boue : de terre et d’eau… Fils de la vouivre.
L’homme et l’AMEN
Ainsi, le monde est un combat entre une pression intérieure et extérieure, entre la lumière qui cherche à rentrer et les ténèbres qui se construisent des abris de pouvoir pour durer.
La gravité est la mesure de ces forces dans un système.
Il existe une clé qui force l’équilibre, c’est l’« Amen ».
Par l’Amen, on ouvre les portes et on laisse rentrer la lumière dans notre système. Celle-ci s’établit et tend à y manifester une joie éternelle débordant notre dimension physique et atteignant toutes nos couches déployées dans les diverses strates créées par les noces.
La lévitation d’objet devient possible lorsque ceux-ci sont introduits dans le système ouvert.
La création de Vortex est aussi un moyen d’équilibrer les pressions pour permettre d’agir et d’imprimer des volontés directement dans la « lumière ». À nos risques et puérils, car celle-ci ne se laisse pas souiller par des gamins qui n’ont pas revêtu l’Habit.
Le Messie est l’Adam complètement ouvert. Comme premier-né et modèle par qui la lumière imprima les créatures, il « sauve » à la manière de Néo dans Matrix. Il respire le monde et nous fait participants de la création par le biais de notre Sainte « imagination », véritable potier de la lumière.
Lara Chnide pendant qu’Aria tide !
Les Archives de la Gravité, 6 gnés : Un chacha un Titi, avant une bonne soupe aux poireaux… J’ai dit !
Mystérieuse gravité
La gravité reste un profond mystère pour la science matérialiste, même si elle donne l’illusion de l’avoir « cernée » et localisée, il n’en est rien. C’est d’ailleurs la gravité qui est la pierre d’achoppement entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Car au niveau des particules, la gravité est introuvable : elle n’existe pas dans la matière ! Dire cela est impossible pour un matérialiste qui voit et constate que les lois cosmiques sont régies par la gravité, qui est là-bas, magistrale, terrible et colossale… Ainsi, si la gravité est dans le grand, forcément elle doit être dans le petit : le grand étant la somme des petits.
Einstein modifia ainsi la théorie de Newton. Pour Newton, la gravité était dans la matière, comme un étrange attracteur, un aimant secret. Plus il y a de matière, plus l’aimant est puissant et plus il attire à lui… Comme on ne trouve rien dans la matière, Einstein propose de localiser la gravité dans un « éther », qu’il nomme l’espace-temps. Cette substance se plie, s’étire, se contracte au voisinage d’une masse de matière. La gravité devient un « champ », une force « effet », causée par la contraction de l’éther espace-temps.
Dire cela reporte le problème de la causalité ailleurs… et amène des problèmes conséquents. Car de quelle « matière » est composé cet éther ? A-t-il un bord ou est-il infini ? S’il plie sous l’effet de forces matérielles, c’est qu’il doit être matériel… De l’espace-temps matériel ? Difficile de l’imaginer.
Paradoxe paradoxal…
Pour résoudre un paradoxe, il faut le séparer en deux paradoxes, puis décider qu’ils ne sont pas des paradoxes et remonter le tout : on a alors un paradoxe non paradoxal résolu. Ainsi, on a décidé que la lumière était une matière, puisqu’elle « pliait » sous la gravité (lentilles gravitationnelles), mais en même temps une onde, un effet de vague, car son comportement impose le fait que sa « masse » est nulle. On a donc un objet à la fois cause (particule) et effet (onde), avec un poids (particule), mais nul (onde)… Un vrai et superbe paradoxe paradoxal.
Là-dessus, on se dit que tout est résolu… C’est sans compter l’expérience ! Car cette « construction théorique » ne fonctionne pas au niveau du petit. À ce niveau, on constate par l’expérience (intrication, superposition… ) que le temps et l’espace sont nuls et par conséquent l’espace-temps ! Zut ! La théorie quantique est en effet une théorie physique non locale (non spatiale). Dès lors où se cache la gravité ?
Cachette gravitaire interdite
Et si l’on cherchait du côté des « gravités » interdites, des lévitations constatées partout dans le monde, des marches sur les eaux, des phénomènes de bilocation, de transverbération, etc.
Ces phénomènes de gravité interdite (car la science interdit à ces faits d’exister sous peine d’être interdit d’existence) ont comme point commun qu’ils sont impossibles à imaginer avec une gravité « officielle ». En effet, pour pouvoir vaincre l’attraction, la seule voie autorisée est de fournir une quantité d’Énergie supérieure à celle qui attire notre masse. C’est la technique du moteur, de la fusée, etc.
Un homme qui lévite devrait donc avoir un moteur pour faire lever sa matière et consommer une matière fossile considérable. Si on ne constate aucun moteur, c’est que c’est une histoire à dormir debout…. Or la lévitation ne fait aucun bruit, ne dégage aucune force et laisse les fleurs des champs respirer le silence lors de sa manifestation.
Il faut donc imaginer une autre explication de la gravité et peut-être aussi de la matière.
Témoignages
Et si nous faisions un saut dans le monde de l’expérience » plutôt que celui des théories ?
Oh voici un chien ! « Cave Canem » dit le gendarme ! D’accord réponds-je ! Sur ce, je vois le chien heureux qui sautille, dressé sur ses pattes, il est presque tout le temps en l’air, il s’élance vers le haut, encore et encore, on le voit tout léger, tout fier qu’il est de fêter son maître… Mais il exagère. Le maître lui dit Stop kiki ! Et voici le chien qui baisse la tête, écrase son dos, plie les pattes, il s’aplatit comme écrasé par une chape, il rentre la queue, cherche à prendre le moins de place, se déplace lentement, se recroqueville, tire sa peau vers le bas en ployant les oreilles….
Et voici un footballiste ! il court, il court le furet… ‘Va marquer ouiiiiiii ! Oh il est heureux, et nous le sommes pour lui ! Bravo ! Il saute, lève les bras en l’air, reste un temps incroyable en suspension, semble léger, léger, il touche à peine le sol et cherche à être haut, tirant la tête, les sourcils, la mâchoire, les bras et les jambes. Il cherche à rester dans le ciel… L’autre équipe est abattue, écrasée, les joueurs plient le dos, rentrent la tête, marchent lourdement en tirant la jambe. Ils sont lourds, pesants, ils cherchent à se fondre dans le sol, à s’écraser sous les huées et les sifflets…
« On les a écrasés ! » disent les uns, les autres répliquent « on est à plat ».
Visitons un ostéopathe… Ah voici Gilbert ! Et posons-lui la question : « y a-t-il un lien entre les problèmes de dos et les sentiments du patient ? » « Oui » dit-il. « On constate que les problèmes liés aux vertèbres coïncident toujours avec les composantes émotionnelles que traverse le patient. Avoir mal aux lombaires par exemple signifie la trahison, l’humiliation, le poids sur les épaules. Le sacrum révèle l’emprise de quelqu’un ou quelque chose, le coccyx est lié aux croyances ; les cervicales c’est le déni de soi, culpabilité, colère… Ces sentiments se marquent sur le corps comme un véritable poids physique qui plie les articulations. On est en pleine somatisation, qui est le fait d’imprimer dans les tissus les tensions, les nœuds relatifs au choc émotionnel non -exprimé.
« Merci Monsieur de nous avoir si gentiment répondu ! Au revoir et bonne journée ! »
Ha ! voici un « art martial man »…. Woaaa, il se déploie coulant ses gestes dans des signes et des écritures superbes, le voici s’envolant tel un cèdre du Japon ailé, quelle grâce et quelle souplesse. C’est de toute beauté !… Oh ! cette danseuse ! … Madame, madame, quel est votre secret ? « Je reste toujours positive, c’est la joie qui me donne ma légèreté, après, tout est plus facile et léger ».
Ouuh là… Voici un homme dépressif. Il est tout courbé. Il ne sait pas regarder le ciel sans avoir mal aux vertèbres. Il reste immobile, écrasé par un poids terrible, il commence à avoir des lourdeurs dans les organes, les « humeurs » se souillent, tout est pesant, fatiguant, pénible ; son regard est fuyant ne dépassant jamais la ligne d’horizon. Il ne sait plus ce qu’est un oiseau. La circulation se fait lente et épaisse, la rate se dilate, l’estomac fait de l’acide, il reste couché, assis, à terre…
Oh ! Le bouquetin du zoo ! Il parade parmi ses femelles, en sémillant guilleret… Hmm… Le rival vaincu courbe le dos, rentre les cornes, aplatit la croupe, cherche le sol, s’écrase, se racrapote.
Ah, voici un musicien, un violoniste et là un pianiste… ! Voici qu’ils entament un air « grave » ! Le violoniste fronce les sourcils et se recroqueville sur son instrument, le pianiste courbe le dos et regarde ses touches perpendiculairement en faisant la moue… Oh, un air plus léger et voici le violoniste qui se redresse, tire la tête en haut, monte le poignet et tient le violon verticalement, il danse, il est tout léger, ses sourcils sont tirés, il crie hourra silencieusement et le pianiste dandine de la tête, se lève sur ses fesses et tient les coudes hauts !
Gravité psychique ?
Que tirer de ces expériences ? Et bien que tous les êtres vivants subissent des poids lorsqu’ils se referment sur eux-mêmes et subissent des envolées lorsqu’ils s’ouvrent à la joie. Les mots et les expressions du vocabulaire confirment cela : être grave c’est subir la gravité, être joyeux c’est être léger… La dépression est une cuvette, un écrasement, un poids qui pèse, qui rend à plat… La joie donne des ailes, nous fait planer, nous monte au 7e ciel, etc.
Il y a donc quelque chose qui nous appuie dessus et qui devient intolérable si l’on ferme les portes, mais qui nous porte si on les ouvre… Il s’agirait donc de trouver un équilibre entre une pression « extérieure » et une pression intérieure. L’ouverture établit un équilibre entre les deux pressions et on flotte littéralement. La fermeture nous cloue par la pression extérieure et on est écrasé littéralement.
Pour léviter, il faudrait donc être complètement ouvert afin que la pression extérieure devienne la nôtre, on serait alors en flottaison, sans poids, ni moteur.
Ce constat suppose donc l’existence d’une substance pesante, qui appuie sur nos fermetures. Une substance qui semble être matérielle, car elle déforme nos squelettes et force nos organes. Mais qui est partout à la fois, cherchant à pénétrer tous les systèmes opaques qu’ils soient physiques, mentaux, ou spirituels.
Cela nous porte à croire que ces trois choses sont une même substance…
Imaginons alors que tout l’espace « vide » est plein de quelque chose et que la matière est un trou où ce quelque chose cherche à rentrer. Alors, une planète fait un grand trou dans le quelque chose, qui lui rend en pression. On a une « gravité ». Un objet fait un trou dans le quelque chose comme une bulle dans l’eau et les bulles se rassemblent entre elles par la pression extérieure de l’eau qui cherche à équilibrer. Les plus petits s’assemblant avec les plus grands non pas parce que la bulle vide attire, mais parce que l’eau pleine pousse.
Il s’agit donc de changer complètement notre vision de la gravité et de l’inverser totalement. L’objet attire son semblable parce qu’il est poussé par la substance dans laquelle il se maintient.
Imaginons un système stellaire, comme une galaxie. Sa forme spiralée est due officiellement à la grande matière qu’il y a au centre. Or il est difficile d’expliquer une forme spirale par adjonction de matière. Car dans l’espace toute matière formée par accrétion tend à devenir parfaitement sphérique (planètes, étoiles, whisky du capitaine Haddock) ! ici, on dirait plutôt la forme que prend l’eau qui s’écoule dans le trou de l’évier. La matière possède bien le comportement du « trou » et le vide du « plein ».
Pour une nouvelle définition du monde
Nous avons vu plus haut que nos sentiments pliaient nos os. Rien n’empêche alors qu’ils plient les os des autres. Il y a donc un lien évident entre l’« extérieur » et l’« intérieur », entre ce que les anciens appelaient macrocosme et microcosme. De plus, on est amené à penser que la substance « pesante » soit également présente à l’intérieur et à l’extérieur. Et comme nous avons vu que les systèmes physiques, mentaux ou spirituels étaient une seule et même substance par le fait que la gravité y agit avec les mêmes effets, on peut considérer que la substance pesante est le + et la substance matricielle (qui reçoit) est le -. On se retrouve avec le + et le -, le yang et le yin, le Roi et la Reine, la lumière et les ténèbres.
Ainsi, il existe une lumière imprégnant macrocosme et microcosme. Elle est invisible par le fait qu’elle est immobile. Là dedans, il y a de l’agitation par l’information qui y est introduite. Cette agitation crée des vides, des trous, car elle s’oppose à la stabilité. Ces trous sont appelés matière et la lumière appuie dessus. Ils sont ténèbres, noirs comme Isis et la lumière les pénètre en y produisant des vies fécondes et magnifiques. Les vides les plus obscurs sont les corps les plus opaques. L’homme est à la médiation de ces noces… Né de boue : de terre et d’eau… Fils de la vouivre.
L’homme et l’AMEN
Ainsi, le monde est un combat entre une pression intérieure et extérieure, entre la lumière qui cherche à rentrer et les ténèbres qui se construisent des abris de pouvoir pour durer.
La gravité est la mesure de ces forces dans un système.
Il existe une clé qui force l’équilibre, c’est l’« Amen ».
Par l’Amen, on ouvre les portes et on laisse rentrer la lumière dans notre système. Celle-ci s’établit et tend à y manifester une joie éternelle débordant notre dimension physique et atteignant toutes nos couches déployées dans les diverses strates créées par les noces.
La lévitation d’objet devient possible lorsque ceux-ci sont introduits dans le système ouvert.
La création de Vortex est aussi un moyen d’équilibrer les pressions pour permettre d’agir et d’imprimer des volontés directement dans la « lumière ». À nos risques et puérils, car celle-ci ne se laisse pas souiller par des gamins qui n’ont pas revêtu l’Habit.
Le Messie est l’Adam complètement ouvert. Comme premier-né et modèle par qui la lumière imprima les créatures, il « sauve » à la manière de Néo dans Matrix. Il respire le monde et nous fait participants de la création par le biais de notre Sainte « imagination », véritable potier de la lumière.
Lara Chnide pendant qu’Aria tide !