La Vierge Marie est la première étape, en termes chrétiens, vers le divin. Elle est la médiatrice devant dieu de plusieurs manières : elle est responsable de prendre dieu et de le traduire sous forme humaine ; elle est la première ligne de défense contre la colère de dieu et elle est la première étape chez l’homme de la réconciliation avec dieu (c.-a-d., en fournissant à l’humanité le sauveur). De ces manières, elle peut fournir l’illumination spirituelle/psychique comme moyen thérapeutique. En se branchant sur sa source, nous entamons un dialogue avec l’infini, qui peut provoquer des résolutions, des inspirations, ou simplement le bien-être. Elle est la mère de toutes les mères.
Un ou plusieurs participants peuvent exécuter ce rituel. Il peut également être exécuté comme invocation ou évocation. Peuvent nous servir : le rosaire, des rythmes de tambour vaudou ou de santeria, des bougies votives et de la salvia divinorum (ska maria pastora).
But : Soin/éveil/découverte spirituel(le), réconciliation, protection contre la rudesse des déités masculines.
Intention : Nous invoquons/évoquons la Vierge bénie Marie pour nous réconcilier avec l’infini. Ceci peut évidemment être modifié pour convenir à des buts plus spécifiques.
Le tambourinage commence. le « rassemblement » entame la récitation du rosaire jusqu’à atteindre une forme de glossalie (une forme de langage incompréhensible).
Si invocation, la candidate commence le travail de transe par des moyens inhibiteurs. L’administration de salvia fonctionne bien en accord avec la thématique du curandero.
Le prêtre invoque/évoque, jouant le rôle de Gabriel comme annonciateur.
Conjuration : Marie, mère des mères, qui incarna le dieu sauveur, CHAIR exaltée ! À ton sein nous buvons le lait de la sagesse des âges. Viens en ta servante (ou illumines-nous de ta présence) et permets à ce point de devenir une ligne, s’étendant à l’infini.
La Vierge Marie adopte alors la posture de la « pietà », les bras ouverts (voir la célèbre sculpture de Michel-Ange) et reçoit chaque membre du groupe individuellement. Ils peuvent exprimer leurs voeux/intentions à la Vierge, ou l’employer simplement comme « espace » pour la communion.
Cette version s’articule sur les effets de libération liés au fait de violer des tabous sacrés. Dans ce cas-ci, nous avons la profanation d’une image sainte et l’exaltation des tendances oedipiennes, ayant pour résultat la prise de conscience des penchants incestueux.
Le rituel est identique, mais la conjuration est modifiée : « Marie, pleine de foutre, s’asseyant sur le visage du Sauveur, puisque notre père a sauté ta cerise. Ta Matrice d’entre toutes les femmes est si chaudement bénite. Étends-toi avec nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre petite mort, Amen. »
Vient une orgie, pour conclure, présidée par la Vierge.
Le Je vous salue Marie Chaote. Texte original « The blessed virgin » sur le site Templex, Fratres Heinz 57 et Chango X, Groupe d’étude de la Bible de Denver. Traduction française par Airzombie.
Par Fratres Heinz 57 et Chango X
La Vierge Marie est la première étape, en termes chrétiens, vers le divin. Elle est la médiatrice devant dieu de plusieurs manières : elle est responsable de prendre dieu et de le traduire sous forme humaine ; elle est la première ligne de défense contre la colère de dieu et elle est la première étape chez l’homme de la réconciliation avec dieu (c.-a-d., en fournissant à l’humanité le sauveur). De ces manières, elle peut fournir l’illumination spirituelle/psychique comme moyen thérapeutique. En se branchant sur sa source, nous entamons un dialogue avec l’infini, qui peut provoquer des résolutions, des inspirations, ou simplement le bien-être. Elle est la mère de toutes les mères.
Un ou plusieurs participants peuvent exécuter ce rituel. Il peut également être exécuté comme invocation ou évocation. Peuvent nous servir : le rosaire, des rythmes de tambour vaudou ou de santeria, des bougies votives et de la salvia divinorum (ska maria pastora).
But : Soin/éveil/découverte spirituel(le), réconciliation, protection contre la rudesse des déités masculines.
Intention : Nous invoquons/évoquons la Vierge bénie Marie pour nous réconcilier avec l’infini. Ceci peut évidemment être modifié pour convenir à des buts plus spécifiques.
Le tambourinage commence. le « rassemblement » entame la récitation du rosaire jusqu’à atteindre une forme de glossalie (une forme de langage incompréhensible).
Si invocation, la candidate commence le travail de transe par des moyens inhibiteurs. L’administration de salvia fonctionne bien en accord avec la thématique du curandero.
Le prêtre invoque/évoque, jouant le rôle de Gabriel comme annonciateur.
Conjuration : Marie, mère des mères, qui incarna le dieu sauveur, CHAIR exaltée ! À ton sein nous buvons le lait de la sagesse des âges. Viens en ta servante (ou illumines-nous de ta présence) et permets à ce point de devenir une ligne, s’étendant à l’infini.
La Vierge Marie adopte alors la posture de la « pietà », les bras ouverts (voir la célèbre sculpture de Michel-Ange) et reçoit chaque membre du groupe individuellement. Ils peuvent exprimer leurs voeux/intentions à la Vierge, ou l’employer simplement comme « espace » pour la communion.
Bannir avec le Notre Père.
VERSION # 2 : (sacrilège et tabou)
Cette version s’articule sur les effets de libération liés au fait de violer des tabous sacrés. Dans ce cas-ci, nous avons la profanation d’une image sainte et l’exaltation des tendances oedipiennes, ayant pour résultat la prise de conscience des penchants incestueux.
Le rituel est identique, mais la conjuration est modifiée : « Marie, pleine de foutre, s’asseyant sur le visage du Sauveur, puisque notre père a sauté ta cerise. Ta Matrice d’entre toutes les femmes est si chaudement bénite. Étends-toi avec nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre petite mort, Amen. »
Vient une orgie, pour conclure, présidée par la Vierge.